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« Car si l’héritage venait de la loi, il ne viendrait plus de la promesse ; or c’est par la promesse que Dieu a accordé sa grâce à Abraham. » (Galates 3:18) On demanda un jour au proche conseiller d’un président : « Le président a-t-il tenu toutes les promesses qu’il avait faites durant sa campagne ? » Il répondit : « Oui, enfin, du moins, toutes celles qu’il avait l’intention de tenir. » Qui n’a jamais été d’un côté ou de l’autre d’une promesse non tenue ? Qui n’est jamais revenu sur une promesse, ou qui n’a jamais vu quelqu’un rompre une promesse qu’il lui avait faite ? Parfois, les gens font une promesse en ayant l’intention de la tenir, mais ne la tiennent pas. D’autres font une promesse tout en sachant, à peine les mots sont-ils sortis de leur bouche ou de leur plume, que c’est un mensonge. Heureusement pour nous, les promesses de Dieu sont tout à fait différentes. La Parole de Dieu est certaine et immuable. « Ce que j’ai dit, je le fais arriver ; ce que j’ai conçu, je l’exécute », dit l’Éternel (Es 46:11, Colombe). Dans la leçon de cette semaine, Paul attire notre attention sur le lien entre la promesse de Dieu faite à Abraham et la loi donnée à Israël quatre cent trente années plus tard. Comment comprendre le rapport entre les deux, et qu’est-ce que cela implique pour la prédication de l’évangile ? |
Etude N°06 – PRIORITÉ À LA PROMESSE
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- Écrit par Vie et Santé & FFN